Z Project 2025

Z Project 2025

Mardi, Septembre 30, 2025

Quand l’audace devient festival

Le Z Project Festival est un événement hybride — à la croisée de l’entrepreneuriat, de l’investissement, de la performance personnelle et de l’expérience festive — qui réunit des entrepreneurs, investisseurs, passionnés et curieux en tout genre.

Pendant la journée, le Z Project propose des conférences animées par des experts autour de thèmes comme l’immobilier, la crypto, la fiscalité, la négociation, le marketing ou l’intelligence artificielle, avec des formats variés accessibles à des profils de tous niveaux. En parallèle, des ateliers en petits groupes permettent d’approfondir certains sujets de façon plus personnalisée (pour les participants VIP).

Le soir, l’événement bascule dans une dimension plus festive : un festival de musique avec DJs, moments de networking et immersion artistique, réservée aux participants VIP.

Le Z Project convoque ainsi trois univers — la connaissance, l’inspiration et l’expérience sensorielle — pour créer un cadre où l’audace et l’action sont mis au premier plan.

Du point de vue du public cible, l’événement s’adresse à des profils variés : les néophytes, les investisseurs aguerris, les entrepreneurs en croissance, les porteurs de projet en quête de leviers concrets.

Le souffle d’ouverture

La seconde édition du Z Project n’était pas un simple rendez-vous entrepreneurial. C’était un laboratoire d’idées, un carrefour de trajectoires et, surtout, une invitation à réinventer sa propre définition de la réussite.

Durant toute une journée, investisseurs et entrepreneurs se sont réunis pour partager ce qui les anime : l’audace. Audace d’investir, d’oser racheter, de bâtir, de rénover, de hacker son corps ou encore de transformer ses échecs en marchepieds vers la résilience.

Cet évènement ne ressemble à aucun autre rendez-vous entrepreneurial. Là où beaucoup de conférences se cantonnent à des salles anonymes et à des successions de PowerPoint, ici, tout est pensé comme une expérience.

Dès l’arrivée, on sent que l’organisation a voulu frapper fort : un lieu emblématique, une scénographie travaillée, une identité qui ne laisse rien au hasard. L’espace est conçu pour stimuler autant l’esprit que les sens. Les couleurs, les jeux de lumière, les espaces de rencontre : tout invite à l’échange.

La première heure a joué le rôle d’un sas. Les participants affluaient peu à peu, le temps de prendre un café, de repérer les lieux, de s’imprégner de cette atmosphère singulière où l’on devine que chaque détail compte. Doucement mais sûrement, les conversations légères ont laissé place à un mouvement collectif : tout le monde s’est dirigé vers la salle principale, prêt à plonger dans le cœur de l’événement — les talks.

C’est alors que Christopher Wangen, créateur du Z Project, a pris la parole. Son message d’ouverture a donné le ton : cette édition serait dense, exigeante et surtout d’une richesse rare. Il a insisté sur un choix assumé : celui de privilégier l’expertise à la notoriété. Les intervenants n’étaient pas là pour briller, mais pour transmettre. Et dans un souffle qui a traversé la salle, il a ajouté une confidence : cette deuxième édition pourrait bien être… la dernière.

Une annonce qui m’a saisi. Entre surprise et tristesse, j’ai senti une émotion particulière : celle d’un rendez-vous annuel auquel je m’étais attaché, peut-être en train de s’éteindre. Alors, je me suis dit qu’il faudrait tirer un maximum de valeur de cette journée.

Le silence s’est fait, et les idées ont pris la parole.

Personal Branding : l’arme ultime de 2026

C’est Thomas Khaski qui a reçu la lourde mission d'ouvrir le bal avec un talk percutant, presque provocateur dans sa justesse. Son message : en 2026, la réussite se joue à visage découvert. Il a rappelé qu’il devient de plus en plus difficile de prospérer dans l’ombre — qu’aujourd’hui, un expert anonyme peut se faire doubler par un intermédiaire visible, simplement parce que ce dernier a compris comment capter l’attention.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 79 % des décisions se font sur la personne avant le projet, 77 % des acheteurs B2B préfèrent traiter avec des individus actifs sur les réseaux, et 82 % des consommateurs font davantage confiance à une marque incarnée par un dirigeant visible. Le message était clair : la visibilité n’est plus un atout, c’est une condition.

Thomas a insisté sur trois fondamentaux : être clair sur ses objectifs, assumer de prioriser la visibilité (sans se réfugier derrière le sempiternel « je n’ai pas le temps »), et jouer la carte de la patience et de la régularité — dix-huit mois pour bâtir un vrai capital d’attention.

Le cœur de sa méthode repose sur la structure :

  • 2 à 3 piliers éditoriaux, pas plus, pour garder une identité lisible.
  • 1 réseau = 1 ligne éditoriale, adaptée à son format et à son audience.
  • LinkedIn : au moins deux posts par semaine et une interaction quotidienne avec la communauté.
  • Instagram : penser hook avant contenu, privilégier le format et les crossposts.
  • TikTok : répéter un même message sous dix angles différents, avec une publication par jour.

Il a martelé une idée forte : les algorithmes se nourrissent de régularité. Ne pas publier, c’est disparaître. Son approche était pragmatique, presque militaire : organisation, automatisation et endurance.

Il a clos son intervention sur cinq principes simples mais essentiels :

  1. Penser lecteur avant marketing. Offrir des idées et des actus intéressantes.
  2. Créer l’actualité. Devenir une source, pas un suiveur.
  3. Devenir une référence. Trouver sa voix, à l’image d’un Mathias Baccino dans son domaine.
  4. Personnaliser ses approches. Adapter son angle à chaque média.
  5. Être réaliste et prêt. Mieux vaut la constance que la précipitation.

En l’écoutant, j’ai ressenti comme un déclic. Ce talk m’a rappelé que le talent silencieux n’est plus une stratégie. Dans le monde actuel, ceux qui osent se montrer prennent une longueur d’avance — non pas parce qu’ils crient plus fort, mais parce qu’ils assument pleinement d’incarner leur message.

Les secrets d’une championne mondiale pour performer

S’il y a bien un talk qui m’a remué profondément, c’est celui de Julina Nilusmas. Quintuple championne du monde de kick-boxing, cheffe d’entreprise et investisseuse immobilière aguerrie, Julina incarne cette alchimie rare entre puissance mentale, rigueur stratégique et audace tranquille. À l’écouter, on comprend vite que sa vie entière repose sur un principe : l’excellence n’est pas un objectif, c’est une discipline quotidienne. Dès les premières phrases, elle a planté un décor sans fioritures :

« Il y a 24 heures dans une journée. Est-ce que ce que je fais, maintenant, m’emmène là où je veux aller ? »

Cette question, simple en apparence, agit comme un électrochoc. Julina ne parle pas de motivation — elle parle de présence. Être là, tout le temps. Travailler plus, mieux et plus souvent que les autres. La discipline comme seconde peau. Son credo : creuser un écart si grand que le résultat devient indiscutable. Dans son sport, certaines adversaires ont littéralement changé de catégorie pour ne plus avoir à l’affronter. « Gagner n’est pas suffisant, il faut dominer », a-t-elle glissé, le sourire aux lèvres.

Mais ce mental d’acier, elle le transpose bien au-delà du ring. Dans son entreprise MyTime, un logiciel RH qu’elle a racheté après y avoir débuté comme stagiaire, comme dans ses investissements immobiliers, commencés à seulement 22 ans, elle applique la même rigueur, la même obsession du focus.

« C’est en faisant tout qu’on trouve le temps de tout faire. »

Dans le business, Julina prône aussi l’intelligence stratégique. Elle raconte, par exemple, comment elle adapte son image selon les situations : lorsqu’un client mécontent veut résilier, elle passe par un assistant virtuel, une identité secondaire qu’elle gère elle-même pour désamorcer les tensions et traiter la situation avec recul. « Il faut savoir être malin avant d’être brillant. »

Ce talk m’a bluffé. Pas seulement pour la performance ou la discipline qu’il incarnait, mais pour la philosophie de vie qu’il véhiculait. Julina m’a rappelé qu’au fond, le mental reste la variable la plus déterminante de la réussite. On peut avoir du talent, de l’ambition, des opportunités — mais sans la capacité de tenir, de se relever, et de rester aligné jour après jour, tout cela s’évapore.

Et ce jour-là, en la regardant parler, j’ai compris qu’avant d’être un sport, un business ou un patrimoine, la réussite est un état d’esprit.

Bitcoin, cycles et stratégies : anticiper la prochaine ruée

Lorsque Quentin Chapeaux est monté sur scène, la salle s’est naturellement tue. Son ton posé, presque professoral, tranchait avec la frénésie qui entoure souvent l’univers des cryptomonnaies. Mais derrière cette sérénité se cachait une conviction puissante : le Bitcoin n’est pas un pari spéculatif — c’est une nécessité.

Depuis 2016, Quentin investit, enseigne et vulgarise les mécanismes de cet écosystème complexe. Plus de 5 000 personnes ont déjà bénéficié de sa pédagogie, et il n’a rien perdu de sa capacité à transformer la technique en vision claire. Dans ce talk, il n’a pas cherché à convaincre — il a rappelé une évidence que beaucoup refusent encore d’entendre :

« Acheter du Bitcoin, ce n’est pas pour devenir riche. C’est pour ne pas devenir pauvre. »

Il a dressé un constat sans détour : nous vivons dans un monde où la monnaie perd 8 % de sa valeur par an, où tous les huit ans, notre pouvoir d’achat fond de moitié, et où l’argent créé n’a plus de fondement réel.« L’argent est une illusion », a-t-il dit. « Il est imprimé à l’infini, pour financer la dette, laquelle finance… une nouvelle dette. Si l’on arrête d’en créer, le château de cartes s’effondre. »

Dans cette logique infernale, Bitcoin représente une sortie de secours. Un actif rare, déflationniste, conçu pour protéger ce que la monnaie traditionnelle dilue jour après jour : la valeur et le temps. Quentin a rappelé que les États s’endettent pour deux raisons principales : compenser un manque de croissance… ou financer des guerres. Et dans ce monde où les crises deviennent structurelles, posséder du Bitcoin, c’est posséder une bouffée d’air.

Sur scène, une slide a attiré tous les regards : « Stratégie des entreprises », divisée en quatre colonnes, de Status Quo à Triple Maxi. Il ne parlait plus ici d’investissement personnel, mais de comment les entreprises elles-mêmes intègrent le Bitcoin à leur trésorerie, à leurs dividendes, voire à leur dette. Un message fort : l’adoption institutionnelle n’est plus une hypothèse, c’est un mouvement.

Et pourtant, malgré cet optimisme lucide, Quentin a terminé sur une note prudente : « Dans les semaines à venir, restez liquides. » Un conseil qui sonnait presque comme un mot de passe pour les initiés. Comprendre les cycles, c’est savoir quand accumuler, quand patienter, et quand observer.

Ce talk, plus qu’une leçon sur les cryptos, m’a rappelé pourquoi j’y crois depuis longtemps. Parce que le Bitcoin n’est pas seulement une technologie : c’est un acte de lucidité face à un système à bout de souffle. Et entendre Quentin le formuler avec autant de clarté, dans une salle suspendue à ses mots, a ravivé cette conviction : ceux qui comprennent les cycles ne cherchent pas la chance — ils préparent la suite.

Comment vivre jusqu’à 120 ans en bonne santé

C’est l’un des talks les plus déroutants et fascinants du Z Project. Lorsque Phi Assef, fondateur de Bily.ia, est monté sur scène, j’ai tout de suite senti qu’il n’allait pas parler de « bien-être » au sens classique du terme. Ce qu’il a livré, c’est une vision radicale du vivant, à la croisée du biohacking, de l’intelligence artificielle et du transhumanisme. Phi a commencé par une phrase qui a suspendu le temps :

« L’âge n’est pas un chiffre. C’est une vitesse. »

Son raisonnement, limpide et vertigineux à la fois, reposait sur un principe fondamental de la physique : tout système tend vers le désordre. La vieillesse, expliquait-il, n’est rien d’autre que l’entropie appliquée au corps humain. Mais si l’entropie est inévitable, elle peut être ralentie, voire localement inversée. « Les humains sont des systèmes ouverts. Tant que l’énergie circule, tant que nous alimentons correctement notre organisme, rien n’interdit à notre sous-système — le corps — de rester jeune. »

Et c’est là que tout prend une dimension presque philosophique : il n’existe pas de limite physique au prolongement de la vie. Selon Phi, vieillir n’est pas une fatalité biologique, mais un code mal optimisé, que la science et l’intelligence artificielle commencent à comprendre et à réécrire. Sur l’écran derrière lui, trois cercles s’affichaient, représentant les niveaux de conscience biologique :

  • Survival : le niveau de base, où l’on maintient simplement le système en vie.
  • Performance : où l’on cherche à optimiser ses capacités.
  • Longevity : où l’on stabilise l’équilibre sur la durée.
  • Et enfin, Centurion : ce niveau ultime où l’on maîtrise les mécanismes du vieillissement.

À mesure qu’il détaillait les « 8 deadly things », ces huit causes fondamentales du déclin cellulaire (épuisement des cellules souches, inflammation chronique, accumulation de déchets métaboliques…), je me suis surpris à retenir mon souffle. Non pas tant par peur de vieillir, mais par fascination pour la clarté de sa vision : le vieillissement n’est pas une malédiction, c’est une équation.

Phi n’en parlait pas comme un chercheur détaché. Il parlait avec la conviction de quelqu’un qui a connu la perte, et qui a décidé d’en faire une mission. Le décès de son père, survenu alors qu’il était encore jeune, a été pour lui un point de bascule : comprendre, prévenir, prolonger. Et depuis, il applique ce processus sur lui-même — expérimentant sur son propre corps les principes qu’il enseigne.

Je suis sorti de cette conférence secoué.

Je prends déjà soin de ma santé, de mon alimentation, de mon corps. Mais après avoir écouté Phi, j’ai réalisé que cela pouvait aller plus loin : que la longévité n’était pas seulement une quête, mais une compétence.

Il a terminé son talk sur une phrase qui, encore aujourd’hui, résonne en moi : « La mort n’est pas une fatalité. Elle pourrait être une option. » Et en quittant la salle, j’ai compris que ce n’était pas un slogan futuriste — c’était un appel à la responsabilité : celle de comprendre notre biologie pour mieux honorer la vie.

Plan de sortie de la France en 3 ans

Ce talk, je l’attendais avec une curiosité mêlée de gravité. Christopher Wangen, fondateur du CW Group, est une figure que je suis depuis des années. Il a bâti son succès sur la pédagogie et la stratégie, sur une vision claire de l’investissement immobilier et financier. Mais cette fois, il n’était pas là pour parler de rendement — il était là pour parler de survie économique.

Dès ses premiers mots, le ton était donné : lucide, froid, presque amer. Pour la première fois, je l’ai senti inquiet. Pas pour lui, mais pour ce pays qu’il a longtemps défendu avant de comprendre qu’il fallait, désormais, apprendre à s’en détacher.

« La France paie son lifestyle avec ses impôts et sa dette. »

Tout était dit. Le décor d’une nation qui emprunte pour entretenir son confort. Christopher a ensuite déroulé une démonstration implacable, chiffres et faits à l’appui : dette publique galopante, pression fiscale record, inflation de la défiance. Selon lui, le système français ne s’effondrera pas du jour au lendemain, mais il se fissure déjà, lentement, sous le poids de ses propres contradictions.

Ce qui m’a marqué, c’est cette idée qu’il ne s’agit plus de « vouloir partir », mais de devoir se préparer à pouvoir le faire. Son message était clair : « il faut arrêter de compter sur la France pour préparer son avenir. Il faut construire son propre plan. » Christopher a ensuite partagé une stratégie concrète, qu’il a appelée « le plan de sortie en trois ans ». Tout y passe:

  • Immobilier : à crédit, toujours. L’immobilier n’a de sens que lorsqu’il est financé par l’argent des autres.
  • Finance internationale : Avoir un compte étranger n’est pas un gros mot.
  • Diversification souveraine : Cash is King, Crédit is Queen, Bitcoin is Go"l"d.
  • Arbitrage intelligent : apprendre à déplacer ses actifs, ses structures, voire sa résidence fiscale, selon les contextes les plus favorables.

Il a même rappelé avec ironie qu’en France, un contrôle fiscal peut accéder à l’intégralité de votre vie numérique : mails, YouTube, messageries… une phrase qui a glacé la salle. Le message était sans détour : la liberté financière ne se décrète pas, elle s’organise.

Mais au-delà des stratégies, ce qui m’a le plus touché, c’est la tristesse mêlée à la lucidité de son propos. Christopher ne crachait pas sur la France — il en faisait le constat douloureux d’un amoureux déçu. Il a terminé sur une phrase marquante, en affichant une citation signée de lui-même :

« Choisir un pays pour ses impôts, c’est comme choisir son mari pour l’argent. Tôt ou tard, il y en aura toujours un plus riche pour le remplacer. »

Une manière subtile de rappeler que le but n’est pas de fuir, mais de reprendre le contrôle de sa trajectoire. Personnellement, ce talk a résonné fort en moi. J’ai ressenti une confirmation de ce que j’avais déjà pressenti depuis plusieurs années : il faut penser au-delà des frontières. Aujourd’hui, ayant plusieurs nationalités et n’étant plus dépendant de la France, je mesure la valeur de cette anticipation.

Mais surtout, je ressens une forme de responsabilité : celle d’informer, d’alerter, d’aider d’autres à ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard. Car au fond, le message de Christopher n’était pas politique. C’était un appel à la souveraineté personnelle. Et dans un monde instable, c’est peut-être la forme la plus sincère de liberté qui nous reste.

Des éclats d’idées, une mosaïque d’inspirations

Je n’ai évidemment pas pu détailler tous les talks de cette édition du Z Project. Chacun avait sa couleur, son intensité, sa propre résonance. Certains ont parlé d’investissement, de travaux, d’autres de mindset, d’autres encore de négociation, de stratégies de vente ou de dépassement de soi. Mais ceux que j’ai partagés ici sont ceux qui m’ont le plus marqué, ceux qui ont laissé une trace durable — pas seulement dans ma réflexion d’entrepreneur ou d’investisseur, mais dans ma vision globale de la vie.

Quand les idées laissent place à la fête

Après une journée aussi dense que stimulante, le cocktail dinatoire est arrivé comme une respiration bienvenue.

Les visages étaient encore habités par les talks de la journée — les conversations s’entremêlaient entre analyses passionnées, débats improvisés et éclats de rires. On sentait que chacun tentait de digérer la mine d’informations et d’inspirations reçues depuis le matin, tout en savourant ce moment où l’esprit et le plaisir cohabitent enfin.

Dans cet espace, les barrières se sont effacées. Entrepreneurs et investisseurs, tous réunis autour d’un verre, comme si le savoir et l’ambition venaient de tisser une nouvelle forme de lien.

L’espace VIP, quant à lui, offrait une parenthèse privilégiée : un lieu pour prolonger les échanges avec les intervenants, pour passer du contenu à la connexion, du discours à la discussion. C’était le moment où l’on réalisait que le Z Project n’était pas seulement un événement, mais une communauté en mouvement — un écosystème où chaque rencontre pouvait devenir une opportunité, chaque conversation un levier.

Puis, à 22h, changement d’ambiance.

Le sérieux de la journée a laissé place à la légèreté de la nuit : direction le Bridge Club, où la musique a pris le relais des mots. Les idées ont fait place aux rires, les chiffres aux danses, et l’énergie collective a continué de vibrer, autrement. Et pour les plus téméraires, la soirée s’est prolongée jusqu’au Gate Club, ultime étape d’une journée qui n’aura connu aucun temps mort — ni dans la réflexion, ni dans la célébration.

Fin de l’édition, pas de la mission

En quittant les lieux, une pensée s’est imposée à moi : le Z Project a, pour la deuxième année consécutive, tenu toutes ses promesses. J’y ai trouvé les informations, les contacts, et l’inspiration que j’étais venu chercher.

Bien que cette édition a été annoncée comme pouvant être la dernière, je veux dire ici — à Christopher Wangen, s’il venait à passer sur ce blog — que peu importe le format ou le lieu d’une éventuelle troisième édition, il pourra compter sur ma présence.

J’ai déjà traversé l’Atlantique deux fois depuis le Canada pour venir vivre cette expérience. Et s’il fallait le refaire, je le referais — encore et encore.

Et si cette édition devait vraiment être la dernière, alors elle aura eu la beauté d’une fin parfaite — celle qui donne envie de recommencer.

Parce que certains événements ne se mesurent pas en kilomètres… mais en impact sur la trajectoire de ceux qui y participent.

« C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages.
Durant la chute, il se dit : tout va bien, tout va bien, tout va bien...
L’important n’est pas la chute, ni l’atterrissage, c’est le rebond. »

Christopher, le rebond est plus que réussi!

Recherche